l’odeur du bombyx

nécrophilie, masturbation et littérature Perdons-nous parmi les cadavres déterrés et passionnément aimés par Gabrielle Wittkop et dans les pâtes vigoureusement branlées de feuilles à la forme. Texte accompagné d’eaux fortes de eddy legrand et de pendus croqués par lmg-névroplasticienne. pdf

la chrysalide du cochon

petit précis d’entomologie forensique à l’usage des parents pour expliquer à leurs enfants ce qu’est la mort et accessoirement la littérature     Lois à son fils Dewey, sept ans : Tu veux savoir ce qu’il se passe quand on […]

Dracula, l’exclusion sanglante

[texte publié dans la revue Quasimodo, n°6, « Fictions de l’étranger », 2000] L’énigme qui drape l’architecture des noms dans le Dracula de Bram Stocker est peut-être de même nature que celle qui gît dans les vieilles bâtisses gothiques d’un […]

toujours toujours toujours

Ou comment revisiter la mythobiographie pour interroger notre rapport à l’abject…   « En un constant miracle fit de ces blessures des cassolettes de parfums ; les emplâtres que l’on enlevait, pullulant de vermines, embaumaient ; le pus sentait bon, […]